reflex-nikon
Avec sa robustesse et sa polyvalence éprouvées, l’appareil photo de type Reflex est réservé aux amateurs de photo souhaitant aller plus loin dans la maîtrise de leurs prises de vues. Avec ses réglages très complets, le Reflex permet à l’amateur confirmé d’aller chercher des résultats précis pour des prises de vues artistiques ou léchées. 

Si le Reflex présente ce qui se fait de mieux en matière de photo, hormis son prix, se décider sur un modèle est d’autant plus important qu’il représente un véritable engagement. Et pour cause : l’appareil est constitué de deux éléments : le boîtier et l’objectif. Opter pour un boîtier et une marque est un investissement sur le long terme, puisque les objectifs resteront, même si l’on décide de changer de boîtier. C’est d’autant plus important que les objectifs ne sont pas forcément compatibles d’une marque à l’autre. Rue du Commerce vous aide à y voir plus clair sur les points à vérifier pour bien choisir.

Choisir un Réflex idéal pour…

Des prises de vues en action

Au-delà des modèles d’entrée de gamme, si votre choix se porte sur des photos d’objets ou de personnes en mouvement (activités sportives, prises de vues animalières…), mieux vaut privilégier un Reflex avec un mode rafale réactif pouvant capturer six images par seconde. Les modèles semi-pro sont capables de prendre jusqu’à 11 clichés par seconde. L’accès aux réglages, ou au mode avec priorité à la vitesse (mode S ou TV) doit être aisé et l’autofocus exploité en continu. L’accès facile au réglage du mode de mesure « Spot », c’est-à-dire une petite cible qui permet de verrouiller le sujet en déplacement pour qu’il apparaisse de façon nette, est un vrai plus. Préférez un kit proposant un boîtier livré avec un zoom 18/200.

Une utilisation tout-terrain

Certaines marques proposent des appareils photo tropicalisés et renforcés pour résister à la pluie ou au sable. Pour vadrouiller, sachez que le poids du boîtier compte. L’idéal, c’est qu’il pèse moins de 800 g. Un objectif polyvalent de type 18/55 présente un bon compromis. Dès le milieu de gamme, certains modèles proposent un module GPS afin de géolocaliser les clichés. L’acquisition d’une batterie supplémentaire est une bonne idée, car l’autonomie de ce genre d’appareil n’est pas énorme.

Pour des photos en intérieur ou macro

Pour la photo sur pied, les portraits ou la macro, l’accessibilité aux réglages manuels est essentielle. Ce genre de prise de vue nécessite de régler précisément la balance des blancs et de pouvoir maîtriser facilement la profondeur de champ. Un kit disposant d’un objectif polyvalent 18/55 ne suffira pas pour faire de la macro. Il sera alors nécessaire d’investir dans un objectif dédié à la macro (environ 400 euros). De même, si le but est de réaliser des tirages photo de grande taille, une résolution importante sera nécessaire. Un Reflex doté d’un capteur plein format (ou full frame en anglais) peut s’avérer intéressant si c’est vraiment vers ce genre de prise de vue que vous souhaitez vous tourner.

Revue en détail d’un Reflex

La taille du capteur

En matière de Reflex numérique, la taille du capteur est un héritage historique de l’époque de l’argentique. Le must, c’est le plein format (24 x 36 mm), dont les pros sont bien souvent équipés. Il est présent sur les modèles professionnels assez coûteux. Les avantages sont certains : les capteurs sont plus gros et la lumière est mieux emmagasinée. Cela permet d’atténuer le « bruit », autrement dit l’effet de grain que l’on trouve sur les photos prises dans de mauvaises conditions d’éclairage. Avec le plein format, il est possible de monter en ISO et d’obtenir une plus grande vitesse d’obturation pour le sport. La profondeur de champ est également plus réduite. L’inconvénient, c’est que les objectifs sont généralement plus imposants.
 
Viennent ensuite les capteurs APS-C. Ils mesurent de 1,5 à 1,7 fois moins que le plein format. Ils s’avèrent toutefois suffisants pour la plupart des usages et leur polyvalence leur permet l’accueil d’objectifs également passe-partout. À noter chez Canon la présence d’un format intermédiaire appelé APS-H qui fait 1,3 fois moins que le plein format et offre un compromis intéressant.
 
Le nombre de mégapixels n’est pas un critère déterminant
 
Avez-vous vraiment besoin d’imprimer une photo en très grand format ? Les résolutions proposées par les Reflex récents, même en entrée de gamme, sont suffisantes pour répondre aux besoins de la grande majorité des photographes.

La sensibilité

Déterminée en ISO, elle indique la capacité que peut avoir l’appareil à réaliser des images en basse lumière. On estime qu’un Reflex doté d’un ISO de 1600 obtient des clichés de qualité correcte dans des conditions d’éclairage médiocres. Plus le chiffre est important et plus l’image sera nette lorsque la vitesse d’obturation est élevée. Ainsi, en milieu de gamme, les boîtiers proposent 3200 ISO et jusqu’à 25600 ISO pour les meilleurs. Toutefois, plafonner à 6400 ISO est amplement suffisant.
 
Si la lumière est suffisante, le Reflex réalise le réglage le plus adapté. Le réglage manuel sert à réaliser des effets (prises de vues sans flash avec traînées de phares dans la nuit, par exemple).

Les objectifs

En matière de Reflex, l’objectif est aussi important que le boîtier, voire même plus. Un objectif coûte parfois bien plus cher et va pouvoir être utilisé avec plusieurs générations de boîtiers de différentes gammes.
 
Il existe des zooms capables de faire varier la focale pour une utilisation polyvalente. L’idéal reste toutefois d’opter pour des objectifs à focale fixe. Spécialisés dans un seul domaine, par exemple, la macro, le portrait… ils captent mieux la lumière. En revanche, il faudra autant d’objectifs que de types de photos.
Choisir une marque, c’est aussi s’engager durablement, car tous les objectifs ne peuvent pas être montés sur l’ensemble des appareils. Ainsi, une optique Canon n’ira pas sur un Nikon et vice versa. Certaines marques indépendantes, comme Sigma, Tokina, Cosina/Zeiss ou Tamron proposent des objectifs compatibles avec les boîtiers Nikon ou Canon. Attention, car pour ces deux marques, le stabilisateur optique est forcément intégré à l’objectif. Or, seuls ces constructeurs peuvent garantir sa bonne gestion, ainsi que celle de l’autofocus. Toutefois, pour s’initier à l’utilisation d’un Reflex, autant opter pour les kits boîtier + objectif 18/55 ou 18/200 proposés par la majorité des constructeurs.

Le stabilisateur optique ou capteur

Pour éviter les flous, Canon et Nikon proposent un système de stabilisation optique. Tout le dispositif se trouve dans l’objectif. Pentax et Sony, quant à eux, ont opté pour une stabilisation au niveau du capteur dans le boîtier. Cela signifie que les objectifs de ces deux marques sont dénués de stabilisateurs.

La précision des réglages

Tous les Reflex du marché proposent une molette dotée de modes de prise de vue préprogrammés. D’autres boutons permettent de peaufiner manuellement certains réglages. L’emplacement de l’ensemble de ces boutons et le fait qu’ils tombent bien sous les doigts est une appréciation subjective.
 
Disposer d’un accès facile et rapide au bouton d’autofocus manuel est un plus, car souvent celui-ci se trouve sur l’objectif.

La connexion sans fil, le GPS, l’USB, la carte mémoire

De plus en plus, les Reflex se bardent d’options que l’on trouve par ailleurs sur les appareils photo compacts et les hybrides. Ainsi, il n’est pas rare qu’ils soient équipés du Wi-Fi et parfois du NFC, afin de visionner les clichés immédiatement sur un smartphone ou une tablette, de transmettre les fichiers sans lecteur de carte à un ordinateur ou encore de piloter l’appareil à distance.
 
Les puces GPS sont de plus en plus répandues et permettent de géolocaliser l’endroit d’une prise de vue.
 
La présence d’une prise mini ou micro USB est systématique sur les boîtiers. Elle permet de se passer d’un lecteur de carte mémoire sur un ordinateur pour récupérer les photos, mais ne peut pas servir à recharger la batterie de l’appareil.
 
Côté mémoire, deux familles se distinguent. Du côté des appareils à vocation professionnelle, ce sont les cartes Compact Flash qui sont employées. Elles nécessitent un lecteur spécifique. Elles sont par ailleurs plus rapides et performantes, mais aussi plus imposantes. Toutefois, depuis quelques années, l’écart de performances avec les cartes SD utilisées sur les appareils de moyenne gamme et d’entrée de gamme s’amenuise. Plus petites, elles sont par ailleurs plus universelles et nombre d’ordinateurs intègrent un lecteur adapté à ce format.

Le rendu des couleurs

Chaque marque dispose de petites particularités au niveau du traitement des couleurs. Tout est une question de goût. Ainsi, les Reflex provenant de la marque Nikon délivrent des clichés avec des couleurs plus froides que celles des Canon. Toutefois, pour un photographe amateur ou pro, la prise de vue simple n’est pas une finalité. En général, la photo est ensuite retouchée et les couleurs adaptées à ce que l’on souhaite grâce à un logiciel de retouche d’image.

La vidéo

Désormais, les Reflex numériques disposent d’un petit plus très intéressant. Ils sont aujourd’hui tous capables de filmer aussi bien voire mieux que certaines caméras en HD et Full-HD. D’ailleurs, de plus en plus de films sont réalisés à partir de Reflex numériques. Si vous souhaitez réaliser souvent des vidéos, autant opter pour l’une des deux marques spécialisées : Sony et Panasonic. L’avantage d’un Reflex pour filmer, c’est qu’avec lui, il est possible de jouer sur la profondeur de champ, bien plus qu’avec une caméra classique, ce qui délivre une image très artistique et professionnelle.

L’écran

L’avantage du Reflex, c’est que ce que vous voyez dans le viseur sera exactement ce qui apparaîtra sur la photo. L’affichage de la scène sur l’écran placé à l’arrière de l’appareil est plutôt rare. Cet écran ne sert souvent qu’à contrôler les clichés et naviguer dans les réglages. Toutefois, certains modèles proposent cette fonction. Dans ce cas, mieux vaut opter pour un écran orientable, pour pouvoir prendre des photos/vidéos dans des positions inhabituelles. Un écran plus grand sera plus lisible, tandis qu’une définition élevée permettra d’apprécier vos images plus finement, pour un meilleur contrôle de vos photos.
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Avec sa robustesse et sa polyvalence éprouvées, l’appareil photo de type Reflex est réservé aux amateurs de photo souhaitant aller plus loin dans la maîtrise de leurs prises de vues. Avec ses réglages très complets, le Reflex permet à l’amateur confirmé d’aller chercher des résultats précis pour des prises de vues artistiques ou léchées. 

Si le Reflex présente ce qui se fait de mieux en matière de photo, hormis son prix, se décider sur un modèle est d’autant plus important qu’il représente un véritable engagement. Et pour cause : l’appareil est constitué de deux éléments : le boîtier et l’objectif. Opter pour un boîtier et une marque est un investissement sur le long terme, puisque les objectifs resteront, même si l’on décide de changer de boîtier. C’est d’autant plus important que les objectifs ne sont pas forcément compatibles d’une marque à l’autre. Rue du Commerce vous aide à y voir plus clair sur les points à vérifier pour bien choisir.

Choisir un Réflex idéal pour…

Des prises de vues en action

Au-delà des modèles d’entrée de gamme, si votre choix se porte sur des photos d’objets ou de personnes en mouvement (activités sportives, prises de vues animalières…), mieux vaut privilégier un Reflex avec un mode rafale réactif pouvant capturer six images par seconde. Les modèles semi-pro sont capables de prendre jusqu’à 11 clichés par seconde. L’accès aux réglages, ou au mode avec priorité à la vitesse (mode S ou TV) doit être aisé et l’autofocus exploité en continu. L’accès facile au réglage du mode de mesure « Spot », c’est-à-dire une petite cible qui permet de verrouiller le sujet en déplacement pour qu’il apparaisse de façon nette, est un vrai plus. Préférez un kit proposant un boîtier livré avec un zoom 18/200.

Une utilisation tout-terrain

Certaines marques proposent des appareils photo tropicalisés et renforcés pour résister à la pluie ou au sable. Pour vadrouiller, sachez que le poids du boîtier compte. L’idéal, c’est qu’il pèse moins de 800 g. Un objectif polyvalent de type 18/55 présente un bon compromis. Dès le milieu de gamme, certains modèles proposent un module GPS afin de géolocaliser les clichés. L’acquisition d’une batterie supplémentaire est une bonne idée, car l’autonomie de ce genre d’appareil n’est pas énorme.

Pour des photos en intérieur ou macro

Pour la photo sur pied, les portraits ou la macro, l’accessibilité aux réglages manuels est essentielle. Ce genre de prise de vue nécessite de régler précisément la balance des blancs et de pouvoir maîtriser facilement la profondeur de champ. Un kit disposant d’un objectif polyvalent 18/55 ne suffira pas pour faire de la macro. Il sera alors nécessaire d’investir dans un objectif dédié à la macro (environ 400 euros). De même, si le but est de réaliser des tirages photo de grande taille, une résolution importante sera nécessaire. Un Reflex doté d’un capteur plein format (ou full frame en anglais) peut s’avérer intéressant si c’est vraiment vers ce genre de prise de vue que vous souhaitez vous tourner.

Revue en détail d’un Reflex

La taille du capteur

En matière de Reflex numérique, la taille du capteur est un héritage historique de l’époque de l’argentique. Le must, c’est le plein format (24 x 36 mm), dont les pros sont bien souvent équipés. Il est présent sur les modèles professionnels assez coûteux. Les avantages sont certains : les capteurs sont plus gros et la lumière est mieux emmagasinée. Cela permet d’atténuer le « bruit », autrement dit l’effet de grain que l’on trouve sur les photos prises dans de mauvaises conditions d’éclairage. Avec le plein format, il est possible de monter en ISO et d’obtenir une plus grande vitesse d’obturation pour le sport. La profondeur de champ est également plus réduite. L’inconvénient, c’est que les objectifs sont généralement plus imposants.
 
Viennent ensuite les capteurs APS-C. Ils mesurent de 1,5 à 1,7 fois moins que le plein format. Ils s’avèrent toutefois suffisants pour la plupart des usages et leur polyvalence leur permet l’accueil d’objectifs également passe-partout. À noter chez Canon la présence d’un format intermédiaire appelé APS-H qui fait 1,3 fois moins que le plein format et offre un compromis intéressant.
 
Le nombre de mégapixels n’est pas un critère déterminant
 
Avez-vous vraiment besoin d’imprimer une photo en très grand format ? Les résolutions proposées par les Reflex récents, même en entrée de gamme, sont suffisantes pour répondre aux besoins de la grande majorité des photographes.

La sensibilité

Déterminée en ISO, elle indique la capacité que peut avoir l’appareil à réaliser des images en basse lumière. On estime qu’un Reflex doté d’un ISO de 1600 obtient des clichés de qualité correcte dans des conditions d’éclairage médiocres. Plus le chiffre est important et plus l’image sera nette lorsque la vitesse d’obturation est élevée. Ainsi, en milieu de gamme, les boîtiers proposent 3200 ISO et jusqu’à 25600 ISO pour les meilleurs. Toutefois, plafonner à 6400 ISO est amplement suffisant.
 
Si la lumière est suffisante, le Reflex réalise le réglage le plus adapté. Le réglage manuel sert à réaliser des effets (prises de vues sans flash avec traînées de phares dans la nuit, par exemple).

Les objectifs

En matière de Reflex, l’objectif est aussi important que le boîtier, voire même plus. Un objectif coûte parfois bien plus cher et va pouvoir être utilisé avec plusieurs générations de boîtiers de différentes gammes.
 
Il existe des zooms capables de faire varier la focale pour une utilisation polyvalente. L’idéal reste toutefois d’opter pour des objectifs à focale fixe. Spécialisés dans un seul domaine, par exemple, la macro, le portrait… ils captent mieux la lumière. En revanche, il faudra autant d’objectifs que de types de photos.
Choisir une marque, c’est aussi s’engager durablement, car tous les objectifs ne peuvent pas être montés sur l’ensemble des appareils. Ainsi, une optique Canon n’ira pas sur un Nikon et vice versa. Certaines marques indépendantes, comme Sigma, Tokina, Cosina/Zeiss ou Tamron proposent des objectifs compatibles avec les boîtiers Nikon ou Canon. Attention, car pour ces deux marques, le stabilisateur optique est forcément intégré à l’objectif. Or, seuls ces constructeurs peuvent garantir sa bonne gestion, ainsi que celle de l’autofocus. Toutefois, pour s’initier à l’utilisation d’un Reflex, autant opter pour les kits boîtier + objectif 18/55 ou 18/200 proposés par la majorité des constructeurs.

Le stabilisateur optique ou capteur

Pour éviter les flous, Canon et Nikon proposent un système de stabilisation optique. Tout le dispositif se trouve dans l’objectif. Pentax et Sony, quant à eux, ont opté pour une stabilisation au niveau du capteur dans le boîtier. Cela signifie que les objectifs de ces deux marques sont dénués de stabilisateurs.

La précision des réglages

Tous les Reflex du marché proposent une molette dotée de modes de prise de vue préprogrammés. D’autres boutons permettent de peaufiner manuellement certains réglages. L’emplacement de l’ensemble de ces boutons et le fait qu’ils tombent bien sous les doigts est une appréciation subjective.
 
Disposer d’un accès facile et rapide au bouton d’autofocus manuel est un plus, car souvent celui-ci se trouve sur l’objectif.

La connexion sans fil, le GPS, l’USB, la carte mémoire

De plus en plus, les Reflex se bardent d’options que l’on trouve par ailleurs sur les appareils photo compacts et les hybrides. Ainsi, il n’est pas rare qu’ils soient équipés du Wi-Fi et parfois du NFC, afin de visionner les clichés immédiatement sur un smartphone ou une tablette, de transmettre les fichiers sans lecteur de carte à un ordinateur ou encore de piloter l’appareil à distance.
 
Les puces GPS sont de plus en plus répandues et permettent de géolocaliser l’endroit d’une prise de vue.
 
La présence d’une prise mini ou micro USB est systématique sur les boîtiers. Elle permet de se passer d’un lecteur de carte mémoire sur un ordinateur pour récupérer les photos, mais ne peut pas servir à recharger la batterie de l’appareil.
 
Côté mémoire, deux familles se distinguent. Du côté des appareils à vocation professionnelle, ce sont les cartes Compact Flash qui sont employées. Elles nécessitent un lecteur spécifique. Elles sont par ailleurs plus rapides et performantes, mais aussi plus imposantes. Toutefois, depuis quelques années, l’écart de performances avec les cartes SD utilisées sur les appareils de moyenne gamme et d’entrée de gamme s’amenuise. Plus petites, elles sont par ailleurs plus universelles et nombre d’ordinateurs intègrent un lecteur adapté à ce format.

Le rendu des couleurs

Chaque marque dispose de petites particularités au niveau du traitement des couleurs. Tout est une question de goût. Ainsi, les Reflex provenant de la marque Nikon délivrent des clichés avec des couleurs plus froides que celles des Canon. Toutefois, pour un photographe amateur ou pro, la prise de vue simple n’est pas une finalité. En général, la photo est ensuite retouchée et les couleurs adaptées à ce que l’on souhaite grâce à un logiciel de retouche d’image.

La vidéo

Désormais, les Reflex numériques disposent d’un petit plus très intéressant. Ils sont aujourd’hui tous capables de filmer aussi bien voire mieux que certaines caméras en HD et Full-HD. D’ailleurs, de plus en plus de films sont réalisés à partir de Reflex numériques. Si vous souhaitez réaliser souvent des vidéos, autant opter pour l’une des deux marques spécialisées : Sony et Panasonic. L’avantage d’un Reflex pour filmer, c’est qu’avec lui, il est possible de jouer sur la profondeur de champ, bien plus qu’avec une caméra classique, ce qui délivre une image très artistique et professionnelle.

L’écran

L’avantage du Reflex, c’est que ce que vous voyez dans le viseur sera exactement ce qui apparaîtra sur la photo. L’affichage de la scène sur l’écran placé à l’arrière de l’appareil est plutôt rare. Cet écran ne sert souvent qu’à contrôler les clichés et naviguer dans les réglages. Toutefois, certains modèles proposent cette fonction. Dans ce cas, mieux vaut opter pour un écran orientable, pour pouvoir prendre des photos/vidéos dans des positions inhabituelles. Un écran plus grand sera plus lisible, tandis qu’une définition élevée permettra d’apprécier vos images plus finement, pour un meilleur contrôle de vos photos.
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